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Recherche par lecteur : Claude Yersin

65 résultats. Page 3 sur 4.

Lu par:Claude Yersin
Durée:13h. 21min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:39494
Résumé: Pourquoi la démocratie libérale est-elle en crise ? Sommes-nous à l’aube d’une nouvelle guerre mondiale ? Que faire devant l’épidémie de « fake news » ? Quelle civilisation domine le monde : l’Occident, la Chine ou l’Islam ? Que pouvons-nous faire face au terrorisme ? Que devons-nous enseigner à nos enfants ? Avec l’intelligence, la perspicacité et la clarté qui ont fait le succès planétaire de ses deux précédents livres, Yuval Noah Harari décrypte le XXIè siècle sous tous ses aspects - politique, social, technologique, environnemental, religieux, existentiel… Un siècle de mutations dont nous sommes les acteurs et auquel, si nous le voulons réellement, nous pouvons encore redonner sens par notre engagement. Car si le futur de l’humanité se décide sans nous, nos enfants n’échapperont pas à ses conséquences.
Durée:1h. 4min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:38898
Résumé: Fin des années cinquante. Cette histoire, bien au-delà d'un certain regard sur le milieu de la danse et du music-hall, dresse un portrait à la fois tendre et désabusé du petit peuple de l'ombre autour de ceux qui aspirent à la lumière... mais n'ont pas la chance d'aller au bout de leurs rêves. Danseuses sans avenir, chorégraphe en mal de Broadway... mais aussi ceux qui gravitent autour d'eux : parents, voisins, amants. Avec en commun une grande solitude et, malgré tout chez certains, l'envie de se battre, de lutter contre un quotidien auquel ils essaient en vain d'échapper pour ne pas sombrer dans le vide de leur existence. Tous écriront des cartes postales, à peine envoyées et déjà surannées, qui aboutiront bien plus tard chez un marchand plus soucieux de la boîte qui les contient que de ces bribes de vie, de ces petits signes dérisoires.
Lu par:Claude Yersin
Durée:7h. 10min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:38531
Résumé: En ce torride mois d'été romain, le petit Mario, dix ans, ne monte pas sur la terrasse de son immeuble pour y prendre l'air, mais pour épier son voisin du dernier étage, monsieur Ruper, un homme sans histoire qui vit seul et mène une vie rangée. Personne ne lui connaît la moindre relation, personne ne l'a jamais vu rentrer chez lui accompagné, et pourtant... Tous les soirs, Mario l'observe dans sa baignoire en train de coiffer et de savonner une très jolie jeune femme. Son ami Riccardo et lui ont décidé d'aller libérer la princesse, parce qu'il n'y a pas d'autre explication : monsieur Ruper l'a enfermée chez lui, elle est sa prisonnière ! Le plus difficile, toutefois, n'est pas de s'introduire dans l'appartement de monsieur Ruper, mais d'en sortir une fois qu'on y est entré... Dans ce thriller de l'enfance menacée, Gilda Piersanti interroge les méandres infinis de la perversité. Devenir la proie d'un pervers est une malédiction, une vie entière ne suffit pas pour y échapper. Illusion tragique nous entraîne dans une intrigue aux retournements imprévisibles, comme un labyrinthe dont le tracé se recompose à chaque détour, jusqu'au dénouement... inimaginable. Car la réalité à laquelle nous nous croyons solidement ancrés se révèle parfois n'être que faux-semblant. Le réveil sera alors sanglant, forcément sanglant.
Lu par:Claude Yersin
Durée:7h. 11min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:36988
Résumé: Ce recueil réunit la majeure partie des récits écrits par Babel à partir de 1924 et jusqu'en 1937. Tous sont construits à partir d'événements vécus ou de personnages réels. Les Contes d'Odessa décrivent un milieu très particulier : celui des bas-fonds juifs du grand port de la Mer Noire où les Juifs formaient près d'un tiers de la population. Gangsters, charretiers, intermédiaires malhonnêtes du ghetto de la Moldavanka y sont évoqués avec truculence, humour et tendresse. Le roi de cette pègre, Bénia Krik, est un brigand au coeur d'or, beau et fort, sorte d'antithèse à l'image traditionnelle du Juif chétif, humilié et persécuté. Dans Histoire de mon pigeonnier, Premier amour, L'Eveil, Dans le sous-sol, Babel a incorporé beaucoup d'éléments de sa propre biographie, son enfance studieuse de petit garçon juif nourri de Talmud, gavé de lectures, mais incapable d'apprendre à nager ou de reconnaître les arbres et les oiseaux, son expérience tragique de la condition juive au cours des pogroms de 1905, l'éveil de sa vocation littéraire, confessions intimes faites avec un mélange de lyrisme et d'ironie. Babel vit dans la révolution une possibilité de libération et la fin de l'antisémitisme. Karl Yankel représente, sur le mode humoristique, le choc de la tradition juive et des idées révolutionnaires qui devait transformer en commissaires bolcheviques les fils des vieilles juives à perruques. De ses séjours à Paris, il a rapporté quelques scènes de la vie parisienne (Le Jugement, La Rue Dante) pleines de vivacité et de mordant. Grand admirateur de Flaubert et de Maupassant, Babel attachait une importance extrême au style. Dans la nouvelle intitulée Guy de Maupassant, il exprime son souci de la brièveté, du mot juste, du point placé au bon endroit "capable de transpercer et de glacer le coeur humain". [Source : 4ème de couverture]
Lu par:Claude Yersin
Durée:3h. 49min.
Genre littéraire:Voyage/exploration
Numéro du livre:36818
Résumé: Il y a des noms de villes qui semblent condenser tout le pouvoir attractif d’un lieu, toute la mythologie sur quoi se fonde notre désir de voyager. Ainsi Tombouctou, Zanzibar, Vancouver ou Valparaiso… C’est le nom d’Obock, celui d’une ancienne colonie française devenue aujourd’hui port de la République de Djibouti, qui est à l’origine de ce récit et du voyage que Jean-Jacques Salgon entreprend en février 2016 pour, selon ses mots, aller « visiter ce qui n’existe plus ». Que Rimbaud et l’explorateur nîmois Paul Soleillet s’y soient un jour croisés, aient pu s’y entretenir de leurs projets commerciaux et des périls encourus sur les pistes qui conduisaient leurs caravanes vers le royaume du Choa, que leur vie aventureuse ait trouvé, sous ces climats hostiles, chacune à sa façon, sa fin précoce, voilà qui donne un relief particulier aux évocations dont ce livre est tissé. Une exploration méthodique de la vie de Soleillet, infiniment moins connue que celle de Rimbaud (alors qu’une situation inverse prévalait de leur vivant), constitue le fil d’Ariane qui nous guide vers ces contrées éloignées à la fois dans l’espace et le temps. Pour les deux trafiquants, l’Abyssinie fut un rêve, un rêve commercial, obstiné, dévorant. C’est vers ce rêve « où filtraient les élans d’une véritable passion géographique » que ce livre nous entraîne.
Lu par:Claude Yersin
Durée:8h. 20min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:36755
Résumé: Que deviendront nos démocraties quand Google et Facebook connaîtront nos goûts et nos préférences politiques mieux que nous-mêmes ? Qu’adviendra-t-il de l’Etat providence lorsque nous, les humains, serons évincés du marché de l’emploi par des ordinateurs plus performants ? Quelle utilisation certaines religions feront-elles de la manipulation génétique ? Homo Deus nous dévoile ce que sera le monde d’aujourd’hui lorsque, à nos mythes collectifs tels que les dieux, l’argent, l’égalité et la liberté, s’allieront de nouvelles technologies démiurgiques. Et que les algorithmes, de plus en plus intelligents, pourront se passer de notre pouvoir de décision. Car, tandis que l’Homo Sapiens devient un Homo Deus, nous nous forgeons un nouveau destin.
Durée:1h. 34min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:36725
Résumé: Dans Passion et prairie¸ une fratrie de trois sœurs, flanquées de maris antagonistes se retrouvent pour un déjeuner sur l’herbe, en attendant l’éclipse. Mais, lasse d’être considérée comme quantité négligeable, leur vieille mère leur annonce sa volonté de s’éclipser avec un fils adoptif, plus compréhensif.
Durée:53min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:36400
Résumé: Un homme est torturé par une idée qui loge dans la tête de sa collaboratrice. Cette idée, qui lui semble défier tout ce à quoi il croit, tout ce qu'il tient pour assuré, le fait souffrir par sa seule existence. Intolérant H. 2 ? Non, simplement attentif à tout ce qui se joue entre les êtres, à la contamination des esprits, à la torture des corps. Corps et idées se tiennent, pour le meilleur et pour le pire. Pour le pire surtout. Et l'on en rit, comme pour se protéger. Elle est là est la première œuvre de Nathalie Sarraute à avoir été écrite directement pour le théâtre. Le thème de l'obsession, que l'on retrouve dans Enfance, est l'un des plus profonds, des plus préoccupants chez l'auteur. L'idée existe par les ravages qu'elle provoque, alors même qu'elle n'a pas été définie par les mots : c'est un genre dangereux et tout physique, «contre elle, on ne peut rien».
Durée:12h. 14min.
Genre littéraire:Support de cours
Numéro du livre:36013
Résumé: Vous avez décidé d'entamer une formation initiale de gestionnaire du commerce de détail...
Durée:2h. 16min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:35708
Résumé: "C'est quand cette pièce est finie, qu'elle commence ; que Motel, le tailleur, Arnold, le coiffeur, tous les autres, tournent en nous à l'idée fixe ; nous cherchons à deviner leur passé, leur avenir ; et chacun de leurs gestes connus ou inconnus fait lever des questions sur l'antisémitisme, la France, Israël, le théâtre, ainsi de suite à l'infini." Michel Cournot (1974)
Lu par:Claude Yersin
Durée:13h. 16min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35459
Résumé: Son titre - G. - est le nom de son principal protagoniste, un homme qui entre 1889 et 1915 va traverser, comme un acteur, la scène de l'histoire. Fils bâtard d'une aristocrate anglaise et d'un négociant italien, il est tôt séparé de ses parents. C'est en orphelin qu'il se construit. Plusieurs expériences vont développer en lui une passion pour le corps singulier des femmes, et celui, collectif, des masses en lutte dans l'histoire. Cette double passion en font un étrange libertin, produit hybride de Garibaldi et de Don Giovanni. Rien en lui d'un séducteur, pourtant ; G. est plutôt laid, et s'il fascine, c'est par la force dérangeante de son regard. G. est un des grands romans européens de la deuxième moitié du XXe siècle. Epique, il est traversé par le grondement des masses en révolte, le souffle des guerres, mais aussi le sillage des premiers héros de l'aviation. Intimiste, il reconstruit le monde perdu de l'enfance, explore celui du désir et du sentiment amoureux. Expérimental, il pousse le langage jusqu'à ses limites. Matérialiste, il doit beaucoup à Marx, mais surtout à Diderot - le Diderot du Neveu de Rameau - et aux écrivains érotiques du XVIIIe, dont il retourne le propos : avec G., Don Juan ne vient plus asservir les femmes à son désir, mais les libérer. En 1972, John Berger recevait le Booker Prize pour son roman, G., et décidait de partager la somme qui lui était allouée avec le mouvement des Black Panthers ! Publié pour la première fois en France en 1978 aux éditions Maspéro, il a paru en 2002 dans une nouvelle traduction aux éditions de l'Olivier.
Lu par:Claude Yersin
Durée:9h. 13min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:34397
Résumé: Le témoignage de ce chirurgien cardiaque pour enfants, spécialisé dans la transplantation et les malformations. Il raconte ses missions humanitaires partout dans le monde, son investissement dans la fondation Le petit coeur, sa carrière, etc
Lu par:Claude Yersin
Durée:9h. 23min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:34070
Résumé: Deux femmes à la retraite, une prof de lettres avec des dons de prophétesse et une prof d'arts plastiques abandonnée par son mari et remplie d'amour pour son fils Oreste, cohabitent dans un « foyer », résidence sociale située dans un quartier défavorisé du centre d'Athènes. Elles ont pris la décision de vivre ensemble en plein cœur de la capitale et ont décidé de profiter pleinement de leur nouvelle vie, sous un nouveau prénom : Tirésia, en référence au devin antique ayant averti Œdipe des maux qui le menaçaient, et Nymphe, par allusion aux divinités des ondes et des forêts dans la mythologie grecque. Mais le changement de vie des deux vieilles dames ne se réduit pas à cette métamorphose identitaire. Apprenant que le gouvernement grec s'apprête à fermer les foyers sociaux du pays, mesure qui risque de les conduire de nouveau à l'asile, Tirésia et Nymphe décident de participer elles aussi à la grande manifestation organisée à Athènes contre le deuxième mémorandum imposé par la « Troïka », le 12 février 2012...Un roman ambitieux et saisissant sur le destin de la Grèce contemporaine
Lu par:Claude Yersin
Durée:8h. 12min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:33584
Résumé: Le genre humain se découvre, à sa très grande surprise, au bord de l'extinction. A cette menace, il ne réagit que mollement, en tentant de manière dérisoire de dégager un bénéfice commercial de toute tentative de réponse. Sommes-nous outillés pour empêcher notre propre extinction ? Notre constitution psychique et notre histoire jusqu'ici suggèrent malheureusement que notre espèce n'est pas à la hauteur de la tâche : la découverte que chacun d'entre nous est mortel l'a plongée dans une stupeur profonde dont plusieurs milliers d'années de rumination ne sont pas parvenues à la faire émerger. Le dernier qui s'en va éteint la lumière propose une description réaliste et véridique de notre espèce, de ses grandes forces et de ses immenses faiblesses. Nous comprendre nous-mêmes est la condition pour renverser la tendance qui nous conduit, si nous ne réagissons pas immédiatement avec la plus extrême vigueur, droit vers l'extinction.
Lu par:Claude Yersin
Durée:5h. 27min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:33325
Résumé: Moins connus que ceux des deux recueils qu'il publia de son vivant, Cavalerie rouge et Récits d'Odessa, mais tout aussi saisissants, les dix récits de l'Histoire de mon pigeonnier, sont ses textes les plus ouvertement autobiographiques.
Durée:14h. 3min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:32536
Résumé: 29 avril-4 mai 1992. Pendant six jours, l'acquittement des policiers coupables d'avoir passé à tabac Rodney King met Los Angeles à feu et à sang. Pendant six jours, dix-sept personnes sont prises dans le chaos. Pendant six jours, Los Angeles a montré au monde ce qui se passe quand les lois n'ont plus cours. Le premier jour des émeutes, en plein territoire revendiqué par un gang, le massacre d'un innocent, Ernesto Vera, déclenche une succession d'événements qui vont traverser la ville. Dans les rues de Lynwood, un quartier éloigné du foyer central des émeutes, qui attirent toutes les forces de police et les caméras de télévision, les tensions s'exacerbent. Les membres de gangs chicanos profitent de la désertion des représentants de l'ordre pour piller, vandaliser et régler leurs comptes. Au coeur de ce théâtre de guerre urbaine se croisent sapeurs pompiers, infirmières, ambulanciers et graffeurs, autant de personnages dont la vie est bouleversée par ces journées de confusion et de chaos. Six jours est un roman choral magistral, une sorte de The Wire (Sur Ecoute) transposé sur la côte Ouest, un texte provocant à la croisée de Short Cuts et Boyz N the Hood. Un récit épique fascinant, une histoire de violence, de vengeance et de loyautés.
Lu par:Claude Yersin
Durée:13h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32299
Résumé: Il a fallu dix années de guerre et de sang, d'amours féroces et de haines inextinguibles pour vaincre les Troyens. A présent, Odysseus doit regagner Ithaque avec ses hommes, là où l'attendent sa fidèle épouse Pénélope et son fils qu'il a quitté encore en bas âge. Mais le retour se transforme en épreuve car Odysseus doit défier les hommes, les forces obscures de la nature et la volonté capricieuse et impénétrable des dieux. Avec ses compagnons, il lui faudra affronter des ennemis aussi périlleux que le cyclope Polyphème, les mangeurs de lotos, la fleur qui procure l'oubli, ou encore les Sirènes au chant merveilleux mais meurtrier...Pour rejoindre Ithaque, Odysseus aux mille talents, le rusé Personne, devra atteindre les confins du monde et oser invoquer les morts au seuil des Enfers. Après avoir chanté la naissance et la formation du héros dans sa variation sur L'Iliade, Valerio Manfredi donne une voix nouvelle à l'autre grand récit fondateur : L'Odyssée.
Lu par:Claude Yersin
Durée:7h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:31106
Résumé: Sur la scène d'un club miteux, dans la petite ville côtière de Netanya en Israël, le comique Dovale G. distille ses plaisanteries salaces, interpelle le public, s'en fait le complice pour le martyriser l'instant d'après. Dans le fond de la salle est assis un homme qu'il a convié à son one man show - ils se sont connus à l'école -, le juge Avishaï Lazar, retraité et veuf inconsolable. Il écoute avec répugnance le délire verbal de l'humoriste. Mais peu à peu le discours part en vrille et se délite sous les yeux des spectateurs médusés. Car ce soir-là Dovale met à nu la déchirure de son existence lorsque adolescent, alors à Gadna (camp de préparation militaire parascolaire) avec son ami Avishaï, on l'avait informé de la mort d'un de ses parents sans lui préciser lequel. Et jusqu'à l'enterrement, Dovale s'était trouvé devant ce choix terrible : de qui - mère ou père - "souhaitait-il" la mort ? Avishai, par lâcheté, lui avait tourné le dos alors que Dovale avait eu besoin de son soutien. Le juge comprend où Dovale veut en venir avec ce spectacle. Il ressent soudain l'envie d'écrire. Il noircit de notes les serviettes qu'il a sous la main. Trahison de l'amour, trahison de l'amitié ? Règlement de comptes ? Pourtant, à la fin du spectacle, entre le juge et l'humoriste, un début de rédemption s'ébauche.
Lu par:Claude Yersin
Durée:5h. 52min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:30409
Résumé: Pour sauver un vieil homme qui s'est jeté à l'eau, un promeneur plonge et découvre que le vieillard nage tout simplement vers un bar au fond de la mer ! Il l'accompagne et va vivre là une bien étrange nuit, car les clients de ce bar branché sur les hautes ondes de l'imaginaire se révèlent des conteurs comme on rêve d'en rencontrer. Qui parodie quoi (ou qui) ? Au lecteur de jouer le jeu et d'entrer dans ce labyrinthe de pastiches où se mêlent savoureusement humour et littérature.
Lu par:Claude Yersin
Durée:12h. 16min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:29961
Résumé: " Adamsberg attrapa son téléphone, écarta une pile de dossiers et posa les pieds sur la table, s'inclinant dans son fauteuil. Il avait à peine fermé l'oeil cette nuit, une de ses soeurs ayant contracté une pneumonie, dieu sait comment. - La femme du 33 bis? demanda t-il. Veines ouvertes dans la baignoire ? Pourquoi tu m'emmerdes avec ça à 9 heures du matin, Bourlin? D'après les rapports internes il s'agit d'un suicide avéré. Tu as des doutes? Adamsberg aimait bien le commissaire Bourlin. Grand mangeur, grand fumeur, grand buveur, en éruption perpétuelle, vivant à plein régime en rasant les gouffres, dur comme pierre et bouclé comme un jeune agneau, c'était un résistant à respecter, qui serait encore à son poste à 100 ans. - Le juge Vermillon, le nouveau magistrat zélé, est sur moi comme une tique, dit Bourlin. Tu sais ce que ça fait les tiques? "